Sierra Nevada
Après avoir passé quelques jours en ville, nous avons décidé de partir à la conquête de la nature, moi et mic. Nous ressentions le besoin de nous évader à l'aire pure. Les amoureux du plein air en on eu pour leur argent. C'était tellement beau et tellement calme. Le village est comme un village fantôme, il n'y avait quasiment personne. La première journée nous sommes allés au village pour aller voir l'information touristique (que nous avons jamais trouvé) et un chien à décidé de nous suivre, il nous a suivit toute la journée. À l'hostel, qui pouvait accueilir près de 300 personnes, il n'y avait pas un chat. C'était vraiment fantôme comme si des extraterrestres
avaient capturés tous les habitants. Le deuxième jours nous sommes partis vers le sommet, le vueleta, qui est à près de 2800 mètres, voir Mic pour les hauteurs plus exacte. Il ventait beaucoup et il faisait très froid, les vents étaient violants, il fallait s'asseoir quand s'était trop dangereux de partir avec le vent. Arrivés au sommet on voyait rien et il devait faire 3 degrés donc on est redescendus pour pouvoir voir le spectacle qu'il y avait devant nous¡WOW!
Le lendemain, c'était le grand départ pour le retour en ville. On ne saura jamais si on manqués l'autobus ou s'il n'est jamais passé mais bref il fallait revenir un jour pour pouvoir continuer notre périple. La seule solution à été de faire du pouce!!! des espagnols punks nous on embarqués. Ils étaient vraiment sympathiques, le gars venait de Barcelone et la fille de l'Argentine.
avaient capturés tous les habitants. Le deuxième jours nous sommes partis vers le sommet, le vueleta, qui est à près de 2800 mètres, voir Mic pour les hauteurs plus exacte. Il ventait beaucoup et il faisait très froid, les vents étaient violants, il fallait s'asseoir quand s'était trop dangereux de partir avec le vent. Arrivés au sommet on voyait rien et il devait faire 3 degrés donc on est redescendus pour pouvoir voir le spectacle qu'il y avait devant nous¡WOW!
Le lendemain, c'était le grand départ pour le retour en ville. On ne saura jamais si on manqués l'autobus ou s'il n'est jamais passé mais bref il fallait revenir un jour pour pouvoir continuer notre périple. La seule solution à été de faire du pouce!!! des espagnols punks nous on embarqués. Ils étaient vraiment sympathiques, le gars venait de Barcelone et la fille de l'Argentine.
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